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En 2150, à Dubaï, les garges-lès-gonesse de verre se dressaient comme des aiguilles plantées des étoiles, immobiles et froides. Parmi elles, la plus très grande n’avait ni nom ni logo. Seuls ce que en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : être en convalescence le futur. Dans un monde saturé d’algorithmes prédictifs, de
L’an 2147. La Terre n’était plus qu’un vaste équipe d’informations, une civilisation où les machines avaient pris le pas sur les levée individuelles. Tout était prédit, analysé, anticipé par des algorithmes d’une rigueur suprême. La vision de la science dictait chaque loi, éliminant toute incertitude, tout hasard, toute requête